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C’est le dernier jour des vacances. Chacun se regarde pour la dernière fois et se trouve tout à coup sympathique. Au loin, une sirène appelle, la plage se vide. Tout le monde est parti… ou presque.[Festival du film court en plein air de Grenoble 201 ...

Depuis quelques années, la grande tendance est de boire du vin bio. Une habitude loin d'être anecdotique qui répond aux exigences des Européens : la traçabilité des produits et le respect de l'environnement. Mais le nouveau phénomène est la consommat ...

Autoportrait intime, sur toute une année, d’un homme transgenre que les gens connaissaient jusque-là sous le nom d’Océanerosemarie. Enfin prêt à affronter le regard social, Océan décide de faire son coming out, de changer de genre et de s’affirmer te ...

Il bougonne, regarde sa montre. Il a accepté l’interview un peu par politesse et déjà il regrette. D’ailleurs, il n’est pas en promo ni rien et ne sait même pas de quoi on va parler. Du cinéma, des hommes et de savoir si le septième art possède un se ...

Max sort tout juste de prison. Il est aide à domicile auprès d'Éliane, une vieille bourgeoise acariâtre et solitaire. Alors qu'il tente tant bien que mal de se réhabiliter, son frère le contraint à replonger pour rembourser une dette contractée auprè ...

Anne (43 ans) partage sa vie entre l’école primaire où elle enseigne et sa maison où elle se livre à un étrange rituel avec son fils Simon (22 ans). Mais sa fille Héléna (20 ans), qu'elle ne voit plus depuis longtemps, est exceptionnellement en ville ...

Les matins d'hiver sous la pluie, c'est dur pour Ariol de se lever et de se rendre à l'école, surtout le jour où il rêve d'être sur une plage avec Pétula.

À la piscine, Ramono a apporté un faux vomi en plastique. Voilà une bonne blague à faire à Tiburge.

Série - Un film, une époque… Jean-Marie Poiré tourne Le Père Noël est une ordure en 1982 avec les comédiens du Splendid. Il s'agit d'une adaptation de la pièce éponyme, jouée avec succès par la troupe depuis 1978. Après le succès des "Bronzés", satir ...

C’est l’histoire d’un pari insensé, d’une course contre la montre : faire interpréter un texte par des détenus devant huit cent personnes dans un des plus prestigieux théâtres de France, le théâtre de l’Odéon à Paris. Trois mois, à raison de trois sé ...